La récup, c’est le meilleur plan pour se meubler de façon écologique. Si on préfère acheter un meuble neuf, on peut se tourner vers les écolabels. Le meuble idéal devrait bien sûr nous plaire, mais également respecter l’environnement et la santé. Il faudrait ainsi miser sur des matières naturelles, si possible locales et recyclées, sans substances nocives, fabriquées sans consommer trop d’énergie, facilement réparables, avec une longue durée de vie...

On ne va pas se mentir, ce n’est pas hyper simple à dénicher. Alors avant de se ruer dans un magasin de meubles, voici les points auxquels être attentif et nos conseils pour bien choisir.

Sommaire :

  1. Préférer un meuble de seconde main
  2. Réparer, customiser ou fabriquer un meuble
  3. Acheter un meuble labellisé
  4. Chercher un meuble éco-conçu
  5. Choisir du mobilier sans substances nocives
  6. Opter pour un meuble fait en Belgique
  7. Acheter des meubles qu’on pourra garder longtemps
  8. Les bons réflexes après l’achat
  9. Pour les évènements, la location de meubles

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1. Préférer un meuble de seconde main

Pour se meubler, on peut facilement se tourner vers l’achat en seconde main. Il y a souvent des trésors à trouver dans les brocantes et les vide-greniers. Côté magasin, on se tourne plutôt vers les entreprises d'économie sociale, dont certaines donnent même un petit coup de jeune aux meubles avant de les vendre. Les adresses sont disponibles sur larecup.be.

Magasin de meuble de seconde main
Le budget est très limité ? Il est possible de trouver un meuble gratuit via une donnerie. Retrouvez-les sur la carte du Réseau des Consommateurs Responsables (cochez « donneries » pour n’afficher que les points turquoises).

Dans tous les cas, en plus d’être économique, la deuxième main permet de réutiliser des meubles existants et de prolonger ainsi leur vie. Et ça c’est un bon plan pour l’environnement, d’autant que la production de nouvelles matières a un fort impact sur le bilan écologique des meubles, qu’ils soient en bois, en métal ou en plastique[1]. Côté santé, un meuble de plusieurs années aura déjà relargué une grande partie de ses substances polluantes comme les COV, le formaldéhyde… et pourrait être plus sain qu’un meuble neuf. Mais il faut mettre certains critères dans la balance : ce que les normes permettaient au moment de sa fabrication, l’usure d’un revêtement qui causerait maintenant l’émission de polluants jusqu’alors contenus… La deuxième main, c’est donc surtout une bonne occasion de s’acheter à petit prix du mobilier en matériaux naturels comme le bois massif.  

> Lire aussi : Pourquoi acheter en seconde main ?
 

2. Réparer, customiser ou fabriquer un meuble  

Relooker un meuble

Le meuble ancien hérité de Mamy n’est plus au goût du jour ? Marre de trimballer la même étagère suédoise depuis qu’on est étudiant ? Fan d’une table trouvée en brocante mais pas de sa teinte ? Avec un peu de temps et de matériel, il est possible de donner un nouveau look à ses meubles pour pas cher, voire de les fabriquer.

Pour rénover un meuble en bois, on évite les produits agressifs (décapants, solvants). À la place, on le ponce ou on utilise d’autres méthodes mécaniques, comme l’aérogommage par exemple. Il s’agit d’une technique proche du sablage qui consiste à projeter un abrasif naturel sur une surface pour la décaper. On peut louer une aérogommeuse ou faire appel aux services d’un professionnel. Certaines grandes enseignes de location d’outillage proposent des aérogommeuses, des entreprises spécifiques de location ont aussi vu le jour. Si on le fait soi-même, on n’oublie pas de s’équiper d’un masque de protection contre la poussière.

> Voir aussi : Les bonnes adresses pour tout louer

Et pourquoi ne pas donner un petit coup de couleur au mobilier ? C’est parfait aussi pour apporter un air plus moderne à d’anciennes armoires de cuisine sans avoir à tout changer. Dans la mesure du possible, on choisit une peinture plus écologique.

> Lire aussi : Comment choisir une peinture écologique ?

On peut aussi simplement remplacer les poignées pour changer le look d’un meuble. On trouve facilement cela en neuf mais parfois aussi sur des brocantes, dans des magasins de seconde main ou dans des lieux spécialisés dans la déconstruction et la récup, comme RotorDC à Bruxelles par exemple.

De nombreux tutos sont disponibles sur internet pour apprendre à rénover ses meubles soi-même. On peut s’en inspirer mais on reste critique sur les produits utilisés et on cherche toujours une option écologique.

Détourner du mobilier

Il est aussi possible de transformer des meubles pour leur donner un nouvel usage. Certains blogs sont d’ailleurs consacrés à la transformation de mobilier Ikea, on appelle cela des « Ikea Hacks »[2]. Si on est un peu bricoleur mais pas trop, l’intérêt est ici de partir d’une structure existante pour l’adapter à ses besoins. Évidemment, l’idée est d’utiliser un meuble d’occasion, surtout si c’est pour changer des morceaux, le scier et percer dedans. L’avantage de l’enseigne suédoise c’est qu’on trouve facilement certains classiques en seconde main et qu’avec son petit nom et une recherche sur Internet, on trouvera certainement quelqu’un qui a déjà transformé ce modèle. Mais rien n’empêche d’utiliser n’importe quel meuble comme base.

détournement de meuble

Des bibliothèques transformées en îlot de cuisine et en banc de rangement pour une chambre d’enfant.
Photos : 11 Magnolia Lane / How joyful

Fabriquer ses meubles

On peut même aller jusqu’à créer son mobilier à partir de fournitures de réemploi. Les palettes sont sans conteste le matériau phare pour réaliser soi-même des meubles originaux à petit prix. Avec un peu d’imagination, on peut se fabriquer un banc, une table de salon, une étagère, une cabane de jardin...

> Voir : Comment fabriquer un meuble en bois de palette ?
 

Fabriquer des meubles en palette

 

Enfin, à défaut de matériaux de récup, on peut fabriquer ses meubles à partir de matériaux écologiques achetés neufs, tel que du bois de préférence local et labellisé FSC ou PEFC (voir infos sur les labels ci-dessus). Pour s’inspirer, de bons points de départ sont le site Instructables (en anglais) et le forum Copain des copeaux (en faisant une recherche sur « meuble »). Les exemples ne sont pas forcément écologiques mais on peut facilement les adapter (choix du bois, fixations vissées plutôt que collées[3], utilisation d’huile de lin plutôt que de vernis, etc.).
 

3. Acheter un meuble labellisé

Si on préfère un achat neuf, les labels aident à identifier un meuble écologique. Ils garantissent un mobilier plus durable sur plusieurs aspects, souvent c’est même tout le cycle de vie qui est analysé.

Chaque label a ses propres critères : matières premières renouvelables, interdiction de certaines substances dangereuses, faibles émissions de polluants dans l’air intérieur, consommation d’énergie réduite lors de la production, garantie étendue, optimisation de l’emballage…

Labels pour meubles

Ecolabel européen - Nordic Swan - NF environnement - Ange Bleu - Indoor Air Comfort

> Voir plus d’infos sur ces labels et où trouver des meubles labellisés


On trouve du mobilier labellisé de toutes sortes : meuble naturel en bois, meuble en métal, en plastique, etc.
 

Mobilier labellisé NF Environnement
Armoire de salle de bain Tip-Top de Chêne vert, labellisée NF Environnement. Photo : chenevert.fr
 

Deux labels sont spécifiques aux meubles en bois : FSC et PEFC. C’est intéressant puisque les meubles en bois occupent les têtes des ventes, avec les meubles en métal.[4] Ces labels certifient une gestion durable des forêts et des bois mais ils se limitent à la production du bois uniquement et ne tiennent pas compte de la conception, de l’utilisation ou de la fin de vie du meuble.

Labels jouets en bois FSC et PEFC

 

4. Chercher un meuble éco-conçu

Même sans label, un fabricant peut décider de concevoir ses meubles de façon plus écologique. Par exemple à travers le choix des matériaux, un design économe en matières premières, une attention à l’économie circulaire, à la durée de vie...

C’est une démarche que les marques mettent souvent en avant dans la promotion de leurs produits. Ceci dit, pour éviter le greenwashing, on n’hésite pas à demander des précisions et à poser des questions.

Le brochure du Pôle éco-conception rassemble plusieurs mobiliers éco-conçus par diverses marques. Elle est plutôt destinée aux professionnels mais offre une belle liste d’exemples et de critères quand on cherche à se meubler de façon plus durable.

Parmi les bonnes pratiques, on relève par exemple :

  • un canapé fabriqué dans le nord de la France avec 80% de la matière première sourcée à moins de 100 km de l’usine et du textile en coton recyclé ;
  • un meuble de rangement modulaire fabriqué en France à partir de bois de récup ;
  • un matelas fabriqué avec de la mousse labellisée et dont 75% du polyester est issu de fibres recyclées ;
  • des étagères faites aux Pays-Bas avec du chêne PEFC et un design minimalisme et modulable, démontable sans outils ;
  • un lit superposé modulable pour enfants fait à partir de panneaux de particules PEFC à faible émission de formaldéhyde, avec une peinture à l’eau sans solvants ;
  • un meuble de salle de bains labellisé NF Environnement dont la conception a été revue pour utiliser 50% de bois en moins ;
  • un canapé-lit allemand assemblé sans vis ni colle, en bois local ;
  • une chaise haute en hêtre labellisé qui s’adapte à l’enfant au fur et à mesure qu’il grandit ;

Enfin, on évoquait ci-dessus la tendance des meubles en palettes de récup’. Mais on n’a pas tous le temps ou les compétences pour se lancer dans une fabrication maison. Alors certaines entreprises en ont fait leur spécialité et il est aujourd’hui possible d’acheter des meubles en palettes prêts à l’emploi.

> Voir aussi : Où acheter un meuble fait en Belgique ?
 

5. Choisir du mobilier sans substances nocives

De nombreux meubles larguent des substances dans l’air intérieur. Plus de 600 substances seraient émises par les meubles, parmi lesquelles on trouve des substances classées dangereuses pour la santé ou pour lesquelles des informations fiables manquent[6]. On les trouve dans les revêtements des meubles, les colles, les vernis, les peintures, les tissus… L’idéal est de les limiter autant que possible. 

Plusieurs labels interdisent d’utiliser certaines substances dans la fabrication, comme le formaldéhyde, les phtalates, les biocides, les nanoparticules.

> Voir plus d’infos sur ces labels et où trouver des meubles labellisés

Sans label, il est plus difficile de s’y retrouver. On peut tout de même faire attention à certains points :

  • Privilégier les matières brutes comme le bois massif plutôt que les panneaux de particules ou les agglomérés. C’est souvent mieux car on évite la colle des panneaux mais ce n’est pas la solution ultime puisque même le bois brut peut relarguer des terpènes[7], être traité avec un insecticide ou un retardateur de flamme…
  • Choisir des panneaux de particules classés E0.5 (selon la norme EN 13986) qui émettent très peu de formaldéhyde. On trouve cette information sur les panneaux seuls (si on fabrique ses meubles) mais certains constructeurs le mentionnent.
  • Préférer un meuble dont les éléments sont vissés, cloués, rivetés, soudés, etc. plutôt que collés. Ces assemblages ne contiennent pas de substances nocives, contrairement à la plupart des colles industrielles.
  • Éviter les vernis, peintures et laques qui peuvent diffuser des substances nocives dans l’air. Il existe aujourd’hui des fabricants qui optent pour des finitions brutes (que l’on peut aussi peindre soi-même avec la peinture naturelle de son choix) ou des laques et peintures à base d’eau.

Table en chêne massif avec huile naturelle

Table en chêne massif avec huile naturelle. Photo : zeitraum-moebel.de
 

C’est particulièrement important de faire attention au mobilier pour les chambres d’enfant car les bébés et les tout-petits sont un public très sensible.

> Découvrir comment aménager la chambre de bébé au naturel.
 

6. Opter pour un meuble fait en Belgique

Choisir un meuble conçu et fabriqué en Belgique permet de réduire les impacts du transport et de favoriser l’économie locale.

Et c’est encore mieux s’il est fabriqué à partir de matériaux locaux, soit de récup’ (vive l’économie circulaire !) soit naturels. Par exemple le bois (chêne, frêne, bouleau…) peut être issu de forêts belges ou européennes gérées durablement.

Certes, le prix risque d’être supérieur à un meuble produit en série d’une grande chaîne. Mais il faut prendre en compte la longévité du meuble qu’on gardera peut-être toute sa vie, sa qualité, le travail de l’artisan… Et même la possibilité de faire du sur-mesure si on le souhaite ! C’est aussi la possibilité de poser des questions précises sur la fabrication et espérer avoir des réponses, contrairement aux géants de l’ameublement chez qui le service vente se borne souvent à renvoyer vers la fiche technique sur le site internet…

La Belgique compte heureusement quelques marques et artisans qui produisent des meubles locaux.

> Voir notre liste de magasins ou fabricants de meubles en Belgique.

 

7. Acheter des meubles qu’on pourra garder longtemps

Dans tous les cas, on opte pour des meubles qui dureront longtemps. Cela peut passer par des matériaux solides comme le bois brut mais aussi par des meubles faciles à entretenir, monter et démonter, évolutifs, modulables ou réparables.

Des meubles faciles à monter et démonter

Si l’on pense à déménager ou pour meubler un logement de façon temporaire, on oublie les meubles en kit qui supportent très mal d’être démontés et réassemblés. Exit aussi ceux dont le montage demande d’utiliser de la colle qui rend le meuble impossible à démonter et à sortir de la pièce.

Pour aller plus loin, il existe des meubles dont la conception a gardé le démontage facile à l’œil. Ils sont très simples à assembler puis réassembler mais surtout, supportent la manœuvre et sont faciles à transporter.

Des meubles faciles à monter et démonter

Étagères et table faciles à démonter. Photos : openwood.co et mobilio-design.fr

Des meubles évolutifs ou modulables

La vie change et les besoins en mobilier aussi. Faut-il pour autant tout racheter ? Les meubles évolutifs ou modulables sont la solution. Le but est qu’une même pièce puisse avoir plusieurs usages, comme le traditionnel canapé-lit ou la table à rallonges. On peut aussi penser aux meubles qui grandissent avec les enfants ou ceux qu’on peut agrandir au gré des besoins (parfait pour les petits espaces !).

Dans tous les cas, le but est de diminuer le nombre de meubles à acheter et d’économiser des matières premières.

meuble modulable

Ensemble de 4 meubles modulables en de nombreuses combinaisons : éléments séparés, étagère, meuble de salon, d'entrée, rangement... en pin espagnol sans vernis ni laque. Photo : europeetnature.com

Meuble évolutif : lit pour enfant

Lit enfant évolutif, peinture à l’eau. Photo : chambrekids.com

Du mobilier réparable

Certains fabricants proposent des pièces de rechange pour leurs meubles. C’est pratique si la garantie ne couvre pas le dommage ou est expirée… ou si on perd une pièce lors d’un déménagement. On se renseigne avant l’achat.

Par exemple, l’entreprise belge Kewlox propose de nombreuses pièces détachées : portes, travers, roulettes, poignées… (cliquer sur « nos meubles » puis « pièces détachées »). Bon à savoir : les meubles en kit ne sont pas les plus durables mais Ikea propose tout de même des pièces de rechange et envoie gratuitement les petites pièces (vis, boulons, chevilles…).

Le choix du minimalisme

Un meuble au design sobre et minimaliste offre différents avantages. D’abord il s’adapte à toutes les envies, tout au long de la vie. Une table ou une étagère simple se fond dans tous les décors, il suffit de changer quelques accessoires pour donner un autre style à la pièce.

Côté environnement, il permet de réduire les quantités de ressources à intégrer dans le meuble, d’être moins énergivore à la fabrication et au transport, d’être plus facile à entretenir...

Enfin, quand il arrivera en fin de vie, il sera plus facile de recycler une table en bois massif qu’un mélange de bois, de métal et d’autres matières.

etagère minimaliste

Étagère minimaliste en pin brut espagnol certifié PEFC sans peinture ni vernis. Photo : europeetnature.com
 

8. Les bons réflexes après l’achat

La bonne habitude à ne jamais oublier : aérer tous les jours ! En particulier quand on vient d’installer des meubles neufs dans son intérieur. Même si les émissions sont plus fortes pendant les premières semaines[8], les meubles risquent de diffuser pendant plusieurs mois des émissions de COV, de formaldéhyde… dans l’air. On y est encore plus attentif quand il s’agit de publics sensibles : on aménage par exemple la chambre d’enfant bien avant l’arrivée de bébé.

> Lire nos 8 conseils pour vivre dans une maison saine

Côté entretien, on se facilite la vie et on évite des meubles qui nécessitent l'usage de solvants (certains rénovateurs de couleurs, détachants) ou de cires conventionnelles. On préfère un simple entretien avec de l'eau additionnée d'un savon naturel ou des soins à base de cire et d'huile naturelle.

> Lire comment entretenir et traiter le bois à l’huile de lin et à la cire ?
> Découvrir le savon noir : un nettoyant naturel multi-usage

Pour conserver longtemps ses meubles de jardin en bon état, on pense à les abriter quand l’hiver arrive.

 

9. Pour les évènements, la location de meubles

Besoin de meubles pour une courte durée, par exemple pour une fiesta chez soi, un mariage, un anniversaire ? On évite les meubles bas de gamme achetés en promo et qu’on utilisera une fois tous les 4 ans (ceux qui ont des mange-debout ou des chaises pliantes qui encombrent leur cave ou leur garage comprendront…).

On opte plutôt pour la seconde main (qu’on revend éventuellement après) ou la location de meubles. Des sites comme in-lease ou semeubler.com en proposent, de même que des plateformes de location entre particuliers.

> Consulter : Les bonnes adresses pour tout louer

En alternative, certains meubles sont conçus pour une durée de vie temporaire. C’est par exemple le cas de meubles en carton recyclé qui demandent peu de ressources, dureront le temps nécessaire d’un évènement et pourront être aisément recyclés ensuite.

Mobilier en carton recyclé

Meuble en carton recyclé. Photo : mynaturebox.com

Néanmoins, le recyclage entraîne aussi des impacts sur l’environnement…  L’option la plus écologique – et la priorité en termes de déchets – c’est donc toujours d’utiliser un produit le plus longtemps possible.

> Lire aussi : Quelles sont les limites du recyclage ?

 

[1] Ademe, 2020, Mobilier - Impacts environnementaux et labels : bois, métal, plastique

[2] Hacker signifie pirater en anglais, ici dans le sens de « détournement ».

[3] Visser, clouer, riveter, souder… Ces assemblages sans colle évitent certaines substances nocives. Le site du label Glue-Free propose une liste de méthodes alternatives.

[4] En 2019 en France, selon l’ADEME.

[6] Anses, 2015, Expertise en appui à l’étiquetage des produits d’ameublement. L’Anses indique que parmi les 600 substances, 60 sont classées comme cancérogène, mutagène et/ou reprotoxique. Néanmoins, 463 substances ont été écartées par manque d’informations.

[7] Roux  M-L. Contribution de mobilier à la qualité de l’air intérieur dans les crèches – MOBAIR-C, – rapport final par FCBA et CSTB de l’étude financée par le MEDDE avec le soutien scientifique de PRIMEQUAL, juin 2013 et Christelle Marlet & Georges Lognay, 2011, Les monoterpènes : sources et implications dans la qualité de l'air intérieur.

[8] L’étude de M.-L. Roux indique que « la concentration en COVT (Composés Volatils Organiques Totaux) décroît de 40 % dans les 14 premiers jours puis de 25 % dans les 14 suivants. »

 

Dernière mise à jour
27 octobre 2021
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Rédigé par
Aurélie Melchior
Dimitri Phukan

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